"La piscine" - à travers les cinq sens et la mémoire, sollicite les sensations du vécu présent ou passé en abordant la peur de la noyade, le plaisir du jeu, les odeurs, les réverbérations, l'intime, la compétition mais également le passé. L'installation est construite sur mesure et est sous la forme d'une promenade où deux couleurs s'alternent pour chaque espace, le bleu et le rouge.

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"Le presbytère de Cornil" - l'essentiel fut de provoquer la mémoire vivante des habitants d'un village de Corrèze à travers une mise en scène du vécu de ce lieu énigmatique qu'est le presbytère.

 

"La nature" - Exposition de groupe - Mon intention se porte sur la coorelation entre l'architecture/l'arbre/l'ombre/lumière. L'ombre de la nature pénètre dans la pièce à travers les fenêtres existantes de la salle d'exposition de Schorndorf. La verticalité de la fenêtre et du radiateur symbolise le tronc de l'arbre. Le plan de montagnes éclairé par une ampoule placée dans le radiateur parle de la surface du tronc. L'ombre devient son interprétation. J'ai également tenté de faire parler l'élément d'architecture qu'est le vertical et l'horizontal de la pièce dans les doubles tableaux "arbre-ombre" posés sur la ligne mur/sol. La lumière au sol est là pour rappel qu'elle est la source de l'ombre.Ainsi, j'utilise l'architecture de la pièce comme l'identité du lieu et je lui propose une métaphore dans sa lecture.

Dans cette exposition j'ai proposé aux artistes de lier certaines oeuvres entre elles pour que l'exposition puisse former un tout. La vidéo de Marion Castor traverse les fenêtres de Jean-Marc Dufour et se pose sur le mur au-dessus de mes peintures. J'ai également travaillé la lumière de cette exposition. Un travail entre le froid et le chaud, le loin et le près, la lumière créateur d'ombres et de surfaces.

 

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"Dissonance Cognitive" - Exposition à la galerie "Le point G" à Tulle Ici ma volonté est d'interpeler le public sur l'impact des slogans publicitaires dans nos vies. Nos désirs, nos envies, nos rêves sont-ils bien les nôtres? C'est sur les vitres de la galerie que je les ai écris à l'envers, sans ponctuations, les uns à la suite des autres comme une écriture automatique... les slogans se suivent dans une logique qui donne à réfléchir. Les cervelles que j'ai sculpté ont été posées sur les téléviseurs comme pour y être irradiés.

 

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